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17 mars 2021 3 17 /03 /mars /2021 08:00

 

Va-t-il  se pointer à Paris en débarquant à la gare Montparnasse ?

 

Est-ce dû à la dangerosité du breton Vincent Bolloré patron de Canal+

 

Est-ce dû à la réélection du Guingampais  Noël Le Graët avec un score nord-coréen de à la tête de la FFF pour 4 ans ?

 

Est-ce dû au retour de l’exilé de Crémone ?

 

Est-ce dû à la promotion de l’Astra Zeneca dans un pays de beurre salé ?

 

Est-ce la faute aux bobos licheurs de chouchen nu ?

 

Est-ce la faute à Macron qui n’a pas de chapeau rond ?

 

Il va m’être reproché de plaisanter à propos de notre Santé Publique ?

 

Mais que voulez-vous déconner sur son écran ne fait pas circuler le fameux virus alors que les ducons qui refusent le masque, se tapent la cloche dans des rades clandestins, eux sont des criminels.

 

 

Bref, un nouveau variant du SARS-CoV2 a été détecté à l'hôpital de Lannion dans les Côtes d'Armor. Des investigations sont en cours pour évaluer la transmissibilité et la dangerosité de ce « variant breton ».

 

Un cluster à l'hôpital de Lannion.

 

La Direction générale de la santé a annoncé lundi qu'un nouveau variant du SARS-CoV2 avait été détecté en Bretagne, quelques jours après les premières informations révélées par le "Télégramme". L'alerte est donnée à l'Agence régionale de santé fin février par le centre hospitalier de Lannion : un cluster est apparu dans l'établissement, mais certains patients présentant des symptômes réalisent plusieurs tests PCR qui reviennent tous négatifs. « Ce qui nous a préoccupés, c’est le fait que des malades ont fait jusqu’à quatre tests PCR négatifs. Nous avons donc suspecté un nouveau variant, dont la spécificité semblait se traduire par une quasi-absence du virus dans la zone naso-pharyngée, ce qui le rendait donc indétectable… », affirmait le 10 mars au quotidien régional breton une source hospitalière. Le journal précise que plusieurs malades avaient déjà contracté le virus par le passé. L'ARS Bretagne a donc fait remonter ces préoccupations à la Direction générale de la Santé. Trois semaines plus tard, 79 cas de Covid-19 sont identifiés, chez des patients et des soignants, dont huit sont porteurs d’un variant non répertorié, confirmé après séquençage.

 

Pas d'information sur une plus forte sévérité ou transmissibilité.

 

La DGS a pu livrer lundi de nouvelles informations suite aux premières analyses menées par l'institut Pasteur. Ce nouveau variant serait porteur de « 9 mutations dans la région codant pour la protéine S mais également dans d’autres régions virales », a-t-elle écrit dans un message adressé aux professionnels de santé. Selon l'agence sanitaire, rien ne permet pour l'instant de conclure à une gravité ou à une transmissibilité accrue. Elle attend désormais des études supplémentaires pour évaluer la transmissibilité, la sévérité et le risque éventuel d'échappement immunitaire. L'hôpital de Lannion a pour sa part pris des mesures en isolant l'ensemble des cas positifs au Covid-19 ainsi que leurs contacts. Cette quarantaine imposée aux soignants réduit les effectifs disponibles et a entraîné la suspension des admissions dans les services concernés. "Les patients sont réorientés vers les autres établissements du territoire", précise l'ARS.

 

Des milliers de variants à suivre.

 

L'apparition de variants du virus est un processus naturel puisque ce-dernier acquiert des mutations au fil du temps, pour assurer sa survie. A ce stade, 3 variants dans le monde sont considérés comme particulièrement préoccupants :

 

  • les variants détectés en Angleterre, en Afrique du Sud et au Japon (communément appelé variant brésilien car présent chez des voyageurs venus du Brésil.

 

  • Le variant anglais a par exemple mis le système hospitalier anglais à rude épreuve de par sa contagiosité environ 50 % plus élevée. Il a progressivement remplacé la souche originelle du SARS-CoV2 : entre septembre 2020 et janvier 2021, il a prospéré pour représenter 60% des nouvelles contaminations. 

 

  • A côté de ces trois variants, il existe une deuxième catégorie de variants « à suivre », surveillés par la communauté scientifique internationale à cause de leurs caractéristiques génétiques potentiellement problématiques mais qui ne circulent encore qu'à moindre échelle. Le « variant breton » a été classé dans cette catégorie qui regroupe déjà des milliers de variants qui apparaissent à travers le monde.

 

Pourquoi le « variant breton » est sous surveillance sans être inquiétant

Marcus Dupont-Besnard ICI

16 mars 2021 - Médecine

 

 

Le nouveau variant apparu en Bretagne n'est ni plus grave ni plus transmissible, il semble en revanche être plus difficile à détecter par un test RT-PCR.

 

Il est naturel pour un virus de muter, d’autant plus lorsqu’il circule activement. Le coronavirus SARS-CoV-2 a connu des milliers de mutations, mais la plupart n’ont causé aucun changement majeur. En revanche, c’est lorsque certaines mutations provoquent une vraie modification génétique que l’on parle de « variant ». Dans le langage courant, on nomme alors ces variants par leur région d’apparition. Le « variant anglais » (VOC2020 ou B.1.1.7), par exemple, est préoccupant car il est plus transmissible. Tous les variants ne déclenchent pas le même niveau d’inquiétude, il existe différents niveaux de surveillance

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commentaires

P
Hilarant ! Le Taulier a tout juste. La mouche du coche était plié en quatre, hier, à l’annonce de l’apparition de se « Variant Breton » le bien nommé.<br /> Va riant Breton . Il se paye notre fiole ce virus. Comme le furet de la chanson « il est passé par ici, il repassera par là » avec au passage un pied de nez.<br /> D’un côtés des malades infectés avec tous les signes de la pandémie et de l’autre un virus absent de l’écran radar. Faut le faire ! Aucun scénariste de film de science-fiction ou d’horreur ne se serait aventurer à imaginer cela.<br /> Pourtant, ce que nous vivons depuis un an et les changements de comportements qui nous sont imposés avec la détermination et le succès décrit par Marguerite Duras dans « Un barrage contre le Pacifique » montre, à y bien regarder , que la réalité dépasse la fiction.<br /> <br /> Mais pour ce que j’en dis…
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