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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 08:00

 

Christian Bonnet, conserveur de sardines dans le Morbihan, lors de son passage au 78 rue de Varenne, fit le buzz sur le Minitel, en qualifiant le gros rouge du Midi de bibine

 

APRÈS LES DÉCLARATIONS DE M. BONNET " Dire tout haut... "

 

Le " Qu'ils crèvent " lancé aux producteurs viticulteurs de la " bibine " par M. Christian Bonnet, ministre de l'agriculture (" le Monde " daté 26-27 décembre), n'a pas manqué d'être relevé par nos confrères parisiens lundi 27 décembre.

Le Monde

Publié le 28 décembre 1976 ICI 

 

 

Par la suite, le Bonnet passa place Beauvau, normal comme le dirait la fille du borgne, le Morbihan avec Raymond Marcellin, est une terre bénie pour la matraque. ICI 

Raymond Marcellin, ancien maire de Vannes.

 

Depuis ces temps antiques, le Midi a arraché son océan de vignes, ses aramons, ne fait plus que de la « qualiteu », Bordeaux distille ses beaux cépages, tout va très bien madame la marquise… Les 68hard, ces débauchés ont laissé la place aux bobos, aux gentrifiés des villes qui n’aiment rien tant que de ce rincer le gosier avec des jus qui goûtent bien (Appellation Contrôlée)…

 

Alors vive la piquette !

 

Une piquette 100 % Gamay, domaine des grottes

 

Non, la piquette n’est pas un vin exécrable, mais une boisson fermentée à base de marcs de raisins vierges, consommée depuis des siècles. Très en vogue aux Etats-Unis, elle commence à intéresser les vignerons français

 

Tout plaquer pour fabriquer de la piquette : c’est le pari un peu fou de Gabriële. Après une courte carrière dans l’audiovisuel, la jeune femme a choisi de devenir vigneronne et au fil de ses recherches sur les vins naturels, s’est prise d’affection pour cette boisson oubliée. La technique, elle l’a apprise chez Romain des Grottes et Perrine Stas, dans le Beaujolais. Sur ses 6 hectares menés en biodynamie depuis une vingtaine d’années, ils ont toujours aimé expérimenter et depuis 2016, ils élaborent leur propre piquette.

 

« Ce n’est pas du vin », précise d’emblée Romain des Grottes. Il explique : « Autrefois, le vin était réservé au dimanche. La boisson de tous les jours était plus simple, basée sur le principe de rincer le raisin à la sortie du pressoir. Pour fabriquer notre piquette, on ouvre le pressoir après la première presse, on met de l’eau, on reprise un coup et on fait fermenter ce qu’on récupère. Au moment de la mise en bouteille, on corrige l’acidité avec du jus du citron. » Mais à chaque vigneron, sa recette : certains vont plutôt l’acidifier avec du vin blanc, d’autres en fabriquer à partir de résidus de vins ou de marcs non pressés.

 

La suite ICI 

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