Dimanche, en loucedé, même Pax n’a rien remarqué, j’ai changé mon enseigne de confiné saison 2, la précédente vieillissait mal, elle était bancale, poussive, indigne de mon standing (rires enregistrés). La nouvelle me va mieux au teint.
Samedi matin, j’ai manqué tomber de ma chaise au vu du titre d’un article de Sud-Ouest signé Sébastien Darsy :
Venu de l’autre bout du monde, Osamu Uchida s’est taillé rapidement une solide réputation dans la viticulture bordelaise. Installé à Pauillac depuis 2015, lui-même n’en revient pas d’avoir réalisé son rêve. Portrait
En peu de temps, il est devenu la coqueluche des cavistes bordelais. De ceux qui s’enorgueillissent d’avoir déniché une petite pépite pour leurs clients. Le succès du vigneron japonais Osamu Uchida, installé dans le Médoc à Pauillac depuis 2015, a été fulgurant. Si bien qu’actuellement, il n’est pas aisé de se procurer l’une de ses bouteilles dans le commerce. Lui-même ne dispose pas de stocks!
Sa cuvée 2018 est « un travail sur l’architecture, pensée en dentelle pour un touché tannique sur le velours. Les arômes de mûres, de café et de cuir dansent sur cette plateforme. C’est chirurgical », écrit…
C’est dans Sud-Ouest, je ne suis pas abonné, la suite ICI
Pensez-donc un naturiste, japonais de surcroît, en plein Médoc !
Osamu Uchida souhaite faire revivre les vins naturels d'autrefois. Des vins purs, savoureux et nets. Des vins vivants que nous affectionnons.
Environ 2000 bouteilles produites chaque année. Vendange à la main, traction animale, un vrai vin d'artisan. Nous adorons !
Ma tribu médocaine : Osamu Uchida, vigneron nippon
Bienvenue dans ce nouveau volet de la série “Ma tribu médocaine”. J’y présente une galerie de portraits singuliers et attachants qui viennent contredire l'idée d’un médoc inhospitalier, qui subit aussi le “bordeaux bashing". En voici le cinquième volet, une improbable rencontre avec le remarquable vigneron japonais néo-médocain Osamu Uchida.
Une vraie saga !
Il y a de quoi se poser la question : comment, en étant né à 10 000 kilomètres devient-on vigneron dans le Médoc?
Dans un français irréprochable, il lui manquerait juste un peu d’accent du cru, Osamu me raconte comment il a réalisé son miracle. Miracle, est le nom vraiment bien trouvé de sa cuvée.
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