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27 avril 2020 1 27 /04 /avril /2020 12:00

L’image contient peut-être : texte qui dit ’QUE TES SOIENT DESORDRES’

L’image contient peut-être : une personne ou plus et intérieur

Paco Mora, moi je l’aime bien, c’est un coco ancienne formule, avant que Georges se fasse baiser par Tonton, à Ivry ça lui va bien au teint, dans son quartier il y est comme un poisson rouge dans l’eau, l’eau-de-vie bien sûr pas la bénite, près des gens comme dit la Merluche qu’a toujours rêvé d’être coco, le boucher comme le pharmacien, gouailleur, déconneur patenté, bosseur, brut de décoffrage, il n’a pas les pieds dans le même sabot, il roule sa bosse pour aller dénicher ses belles quilles de vin qui pue, il  se bouge le cul, parfois il le montre un peu trop son cul et il se fait rattraper par la patrouille des ricains de face de bouc. En bon espinguoin républicain, le Paco n’oublie pas que cette foutue guerre d’Espagne fut la mère des horreurs fascistes, et il ne m’en voudra pas d’ajouter staliniennes aussi, les anarchistes catalans ont payés un lourd tribu et le petit père des peuples n’a pas été avare du sang de ses opposants, dont les anciens des Brigades Internationales.

 

L’image contient peut-être : Paco Mora, sourit, assis

 

Et puis Paco, ça sonne comme Paco Ibanez

 

partons pour l’Andalousie avec la superbe chanson de Paco Ibanez « Andaluces de Jaen » qui s'inspire du poème « Aceituneros »(Cueilleurs d'olives) de Miguel Hernandez, publié en 1937 dans « Vents du peuple » : qui est une exhortation à ce que le peuple de Jaen (Ville au Nord-Est de l’Andalousie) prenne conscience que ses oliviers sont le fruit de « la terre silencieuse, du travail, de la sueur, de l’eau pure et des planètes du ciel », et non d’un propriétaire, d’un Seigneur ou de l’argent, et remette en question leur propriété. A qui appartiennent donc ces oliviers et leurs olives ICI 

 
26 mars 
 
 
Il y a un an , Savoie , l'équipe de la cave d'Ivry chez Mathieu Apfeel , génial... – avec Alice Meker, Samantha Biolcati et Mathieu Apfeel.

 

Il est très famille le Paco, la sienne comme celle de sa cave.

 

Cuando Valladolid se convirtió en capital de Europa | El Norte de ...

 

Et puis, avec le social-traître Rocard, j’ai participé à la négociation pour l’entrée de l’Espagne postfranquiste dans cette Europe si décriée aujourd’hui, pour une fois d’accord avec cette fripouille de Tonton, bien plus que pour des raisons économiques, les tomates espagnoles entraient déjà chez nous à pleins camions via le fameux marché-gare de Perpignan, il s’agissait d’arrimer la jeune démocratie espagnole du socialiste Felipe González Márquez à un espace qui la défendait. Bref, j’en suis fier !

 

Chez Paco, comme aux Galeries Lafayette il se passe toujours quelque chose et, avec la crise sanitaire, après un respect initial tout à son honneur, pour sauver la boutique il s’est retroussé les manches, a laissé son imagination débordante faire le job, il se démène comme un beau diable pour aller livrer au diable vauvert ses jajas poilus aux assoiffés confinés.

 

Aucune description de photo disponible.

La Celle Saint Cloud , La Garenne Colombes , Nanterre, Saint Denis , Paris 19 ,Paris 11, Paris 13 , l'Hay les Roses , comme un road movie mais que des livraisons, un road movie moins drôle en quelque sorte...

 

Bravo Paco, t’es le Raid Ader qui sauve le populo de la pépie…

 

2 détails, style Paco :

 

  • Coronavirus : les hommes plus touchés à cause de leurs testicules? ICI 

 

  • Coronavirus : la proportion de fumeurs parmi les personnes atteintes du Covid-19 est faible ICI 

Image

«Red» Adair suspend son vol ICI
Par Pascal RICHE  

Le fondateur du groupe spécialisé dans l'extinction des incendies de puits de pétrole est mort samedi à 89 ans.

Couleur fétiche. Né le 18 juin 1915, Paul Adair, de son vrai nom, a acquis dans sa jeunesse le sobriquet de «Red» à cause de sa tignasse rousse. Le feu lui est familier depuis sa prime enfance : son père était maréchal-ferrant à Houston. Après l'avoir secondé (pour nourrir une famille de 8 enfants), il devient, en 1938, foreur de puits de pétrole dans l'Oklahoma. Là, il est vite repéré pour ses actes de bravoure : il referme une valve quand tout le monde s'enfuit autour de lui ; il se remet au travail juste après avoir été projeté de plusieurs mètres par une explosion... Myron Kingsley, alors spécialiste numéro 1 des accidents pétroliers, l'embauche. Lorsque Kingsley prend sa retraite, vingt ans plus tard, Red Adair crée sa propre entreprise, Red Adair Wild Well Control. Il la peint à sa couleur : le rouge. Uniformes, matériel... Lui-même porte sa couleur chérie jusqu'au bout de la cravate, et la choisit systématiquement pour ses autos. En 1972, il fonde Red Adair Service and Marine, pour commercialiser ses techniques et son matériel.

Findus : Tous les messages sur Findus - Strips Journal

Chez Leclerc, la crise sanitaire révélatrice d’un management par la peur

Des salariés des magasins du réseau de distribution témoignent de conditions de travail difficiles où « pressions » et « flicage » sont monnaie courante.

Par  Publié le 03 avril 2020

Lorsqu’il s’est ému auprès de l’Agence France-Presse, vendredi 20 mars, de l’absence de décontamination du rayon boulangerie après le confinement d’une de ses collègues, dont le conjoint était suspecté d’infection par le SARS-CoV-2, Mathieu Lamour, employé depuis douze ans par le magasin Leclerc de Saint-Etienne-du-Rouvray, dans la Seine-Maritime, et délégué CGT, a reçu de son employeur… une lettre. Ce courrier, que Le Monde a pu consulter, lui indiquait que, à la suite de son « intention malveillante » de diffuser de « fausses nouvelles » et de « diffamer » l’entreprise, la direction prendra « les mesures qui s’imposent » et engagera des ­« actions en justice ».

 

« Ils ont mis des Plexiglas aux caisses, fourni du gel, mais les employés n’ont pas de gants, explique le salarié. Et la direction nous a dit qu’elle n’en fournirait pas. Ils ont même mis des affichettes disant qu’il était inutile de mettre des gants sous prétexte d’une surcontamination ». La prime de 1 000 euros – versée par certains groupes de la grande distribution à l’appel du gouvernement pour les salariés mobilisés pendant la crise –, il en était encore moins question. Et quand certains employés ont voulu savoir comment exercer leur droit de retrait, « la direction a répondu que ceux qui exerceraient ce droit ne seraient pas payés », raconte M. Lamour.

 

 « Le magasin applique la réglementation relative au droit de retrait, indique la direction nationale de l’enseigne E. Leclerc. Sa direction a pris des mesures de protection pour ses salariés, conformément à la recommandation du gouvernement. Le droit de retrait ne paraît donc pas, dans ce cas, justifiable, comme l’explicitent d’ailleurs les instructions du ministère du travail sur son site Internet. »

 

La direction précise être « d’accord sur le principe d’une prime », dont elle étudiera les modalités « dans les semaines qui viennent ». Elle souligne que pour les masques, « des livraisons sont programmées pour le magasin en fonction des arrivages » ; et que « pour ce qui est des gants, la médecine du travail a recommandé au magasin de privilégier le lavage des mains plutôt que le port des gants ».

 

Chaque magasin a son propre patron

 

S’ils adhèrent tous au Mouvement E. Leclerc, chaque magasin, franchisé, possède son propre patron. Un entrepreneur local, indépendant, gros pourvoyeur d’emplois peu qualifiés dans sa région, souvent à la tête de plusieurs supermarchés ou hypermarchés Leclerc, complétés parfois de drive, de stations-service, de magasins de bricolage…

 

Fin mars, ils étaient 542 adhérents Leclerc pour 721 magasins en France. « Certains sont de vrais négriers, mais il y a aussi des patrons qui sont très bien », souligne un autre syndicaliste. Sur France Inter le 18 mars, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, avait mentionné que « des entreprises font pression sur les salariés pour être à leur poste, certains magasins Leclerc par exemple qui ne jouent pas le jeu ».

 

La crise sanitaire a mis l’accent sur des pratiques observées dans plusieurs magasins du réseau. « A la pointeuse le matin, faut voir les têtes. Certains soupirent, d’autres lancent un “Vivement ce soir !”. On vient bosser parce qu’on est obligé », soupire Gilles, qui officie dans la logistique. Il nous avait raconté son quotidien quelques semaines avant le confinement, tout comme d’autres salariés travaillant sur divers sites en France, en supermarché, au drive, à la logistique ou dans des bureaux.

 

Leurs noms ont été changés à leur demande, par crainte de représailles. Ils décrivent tous une même pression. « Toujours surveillés, toujours encadrés, toujours sous contrôle », « méthodes sournoises », « cadences de plus en plus élevées et flicage de personnel », « diviser pour mieux régner »… « Quand j’ai fini de charger mon camion, je suis obligé d’appeler mon chef pour qu’il vérifie que je l’ai bien fait… J’ai l’impression d’être à la maternelle », déplore Gilles.

 

« L’ambiance a changé »

 

Parallèlement, le réseau Leclerc affiche une ascension insolente. Depuis 2013, il a doublé des géants comme Carrefour ou Casino avec ses 21,8 % de part de marché en France. « Tout ce qui est négatif, on n’en parle pas, et tout ce qui est positif, on en parle, photos à l’appui sur les réseaux sociaux », constate M. Lamour.

 

Mais le drame survenu dans l’hypermarché Leclerc de Vandœuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle) a fait office de révélateur. samedi 11 janvier, peu avant l’ouverture du commerce, Maxime Chery, responsable du rayon bières, dix-sept ans de présence dans le magasin, mettait fin à ses jours sur son lieu de travail. Problèmes personnels, harcèlement, délicate position de ce syndicaliste FGTA-FO au sein de l’enseigne ? Le procureur de la République de Nancy a ouvert une enquête judiciaire.

 

Le magasin avait alors adressé « ses sincères condoléances à sa famille » et « témoign[é] son soutien dans cette épreuve dramatique ». Le syndicat FGTA-FO attend les conclusions du procureur pour se porter partie civile ou porter plainte pour « harcèlement moral au travail », « homicide involontaire », et « mise en danger de la vie d’autrui ». Il est conseillé par l’avocat Dominique Riera, qui l’avait représenté dans le procès sur les suicides chez France Télécom. Ce dernier indique « avoir eu des retours spontanés de plusieurs salariés qui vivaient des choses identiques. On recense actuellement les cas individuels pour les instruire ».

 

S’ils ne sont pas passés à l’acte, certains y ont songé avant de se raviser. « Cela va me faire beaucoup de bien d’en parler avec vous car, à part mon mari, je ne peux en parler à personne », lâche Carine. Dans son magasin, comme dans d’autres, même les salariés se méfient les uns des autres. « On sait qu’il suffit de se taire, pour monter en grade », lance José.

 

Du haut de ses vingt ans de maison, Gilles a vu le système se durcir peu à peu. « Quand j’ai commencé, les dirigeants parlaient cash, on se disait les choses en face, et, après ça, on en restait là. Ils passaient dans les allées, disaient bonjour. Aujourd’hui, le PDG, on ne le voit même plus descendre. » « Il ne regarde que les chiffres », renchérit Paul.

 

« Quand je suis arrivé, ils m’ont dit “Nous, c’est notre magasin, c’est une ambiance familiale”, raconte Yann. Effectivement, le PDG a mis toute sa famille, l’un comme directeur du drive, l’autre comme directeur du magasin… Mais ce n’est pas cela qui fait une ambiance familiale. » Paul, dont le magasin était autrefois un Casino voit lui aussi la différence : « L’ambiance a changé, tout comme la façon de travailler. Même les clients voient qu’il y a un malaise dans le magasin. On a enchaîné les démissions, les gens ont craqué. »

 

Des dérives managériales

 

Les dérives managériales ne sont pas rares, comme avec « cette femme seule avec son enfant, à qui le responsable pourrissait la vie, en modifiant régulièrement ses horaires », raconte un de ses collègues. D’autres encore ont vu leur chef lancer en réunion un : « Moi, je vais vous coller aux couilles. »

 

Dans certains Leclerc, les salariés sont convoqués pour des avertissements, avec procès-verbal. « Vous êtes convoqués au bureau du directeur en présence du DRH, en général au pied levé sans pouvoir vous faire accompagner, témoigne Carine. On vous reproche alors votre retard, votre comportement… Et, à la fin, ils dressent un constat. Et vous obligent à le signer. Du coup, cela laisse entendre qu’on reconnaît la faute. »

 

« S’ils vous voient sortir votre téléphone, même si c’est pour regarder l’heure, on ne vous le dit jamais en face, mais quelques minutes après, vous êtes convoqué pour ce qu’ils appellent un “suivi d’activité”, relate Gilles. Ils vous demandent de le signer sans nous en donner une copie. Ils finissent où ? ça va sûrement dans les dossiers des gens. »

 

Sans oublier ce cas de salarié convoqué « pour avoir oublié de retirer de la vente un produit périmé de son rayon, alors qu’on lui avait demandé d’en gérer un autre », raconte M. Lamour. Ou encore cette procédure pour « une erreur dans la gestion des documents durant une journée où… la salariée était en vacances ». « Une fois qu’on est dans le viseur », soupire-t-il.

 

Dans d’autres magasins, les caméras de surveillance ne surveillent pas que les tentatives de vol des clients. Comme ce salarié, rappelé à l’ordre pour avoir renseigné « un peu trop longtemps » un client. La direction, « lui a montré la vidéo, explique un de ses collègues. Il y a beaucoup de flicages. Du coup, les salariés sont très tendus. »

 

Des horaires à rallonge

 

Le commercial d’une marque de biens de consommation qui fréquente plusieurs enseignes pour y placer ses produits décrit « des magasins où le droit du travail est peu souvent respecté », où « mes interlocuteurs, en rayon, ont 35 heures indiquées sur leur fiche de présence et en font 60 ». Et où « les trois quarts du service comptabilité sont réquisitionnés pour faire les plateaux de fruits de mer à Noël ».

 

« Le dimanche, chez nous, c’est un volontariat obligatoire », rapporte Yann

 

Des horaires à rallonge, et parfois des temps de pause non comptabilisés comme dans cet autre Leclerc, où « souvent on nous fait démarrer à 7 h 15, ce qui fait sauter les 3 minutes de pause par heure », raconte Carine. Ou encore, poursuit-elle : « Des plannings qui commencent à 6 h 30 au lieu de débuter à 8 heures conformément au temps de repos, que les gens n’osent pas contester par peur d’être réprimandés. »

 

Dans cet autre magasin encore, lorsqu’il a ouvert le dimanche matin, les employés se sont rendu compte, à la fin du mois, que leur salaire n’avait pas été majoré comme le prévoient les textes de loi. La situation a été par la suite régularisée face aux interrogations du personnel. « Le dimanche, chez nous, c’est un volontariat obligatoire », rapporte Yann, s’appuyant sur les propos lancés par son directeur : « Je vous forcerai à venir quitte à aller aux prud’hommes. »

 

Pour Carole Desiano, secrétaire fédérale FGTA-FO, « bien souvent dans les grands groupes, quand on nous fait remonter un problème dans un magasin, on passe quelques coups de fil au DRH, pour que des consignes redescendent. Chez Leclerc, on n’a pas d’interlocuteur ».

 

La direction d’E. Leclerc répond que « chacun de ces entrepreneurs (comme tous les commerçants indépendants de la distribution française) est autonome et seul responsable de la gestion de son entreprise et notamment dans le management et les ressources humaines. Le sujet de la représentation syndicale concerne donc légitimement chaque société d’exploitation qui en est responsable ».

Les années 68 s'éloignent (2) - En attendant Nadeau

Henri Weber d’Alain Krivine à Laurent Fabius : Sa vie et son parcours ont suivi les tourments du XXe siècle. ICI

 

Henri Weber, ancien sénateur socialiste de Seine-Maritime, est mort dimanche 26 avril, du Covid-19 en Avignon, a annoncé sa famille. Il était âgé de 75 ans. Ce proche de Laurent Fabius a été l’une des figures du trotskisme français avant sa conversion à la social-démocratie dans les années 1980

La députée européenne Agnès LE BRUN, le sénateur Jacques GAUTIER, le député Guy DELCOURT, le ministre Laurent FABIUS et le député européen Henri WEBER

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commentaires

A
On fête l'anniversaire du pont <br /> https://patrimonia.nantes.fr/home/decouvrir/themes-et-quartiers/pont-chevire.html
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P
Red Adair, Hermann Geiger, le pilote des glaciers, Alain Gerbault navigateur solitaire, à l'heure ou, enfants nous voulions tous devenir pompier, étaient des héros qui nous faisaient rêver et dont les hebdomadaires comme Spirou avec les Bonnes Histoires de l'Oncle Paul ou Tintin avec son Histoire Complète nous racontaient leurs vies
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P
Michel Edouard Leclerc, fils d'une bonne famille chrétienne comme la Bretagne sait en élever et garder, confinées en religion comme en dévotion !<br /> Je n'ai toujours pas compris que les associations de défense des consommateurs n'aient toujours pas engagé de procédure pour publicité mensongère, tromperie sur la marchandise. Il y a rien de moins clair que ce type là.<br /> Un vrai artiste, surnommé Rembrandt, le spécialiste du clair obscur. Et même pas de DLC c'est dire qu'on va le supporter encore longtemps ce mal faisant, ce prédateur celui a qui l'on doit nos entrées de ville pourries , des rocades et voies rapides pour venir le voir, payées avec nos sous.<br /> Le roi du prix le plus bas ! on sait, comment ça marche chez lui et ses semblables. Souvenez vous quand la GD vous garantissait de vous payer la différence + le mousseux, n'oubliez pas le mousseux si vous trouviez " moins cher ailleurs ". Pas le moindre risque, les fabricants modifiaient les façades et les tableaux de commande de telle sorte que d'un revendeur à l'autre, il ne puisse y avoir de comparaison possible. Le clair partout non ?<br /> Baah, vos désordres sont mes ires !
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