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27 septembre 2019 5 27 /09 /septembre /2019 06:00
Du vin de souris, une spécialité chinoise qui consiste à faire infuser du vin de riz avec des souriceaux. Photo Loic VENANCE/AFP

Du vin de souris, une spécialité chinoise qui consiste à faire infuser du vin de riz avec des souriceaux. Photo Loic VENANCE/AFP

Cette chronique est dédiée à un fidèle lecteur nantais.

 

Toujours précurseur votre serviteur : le beurk est son domaine comme en attestent ces deux chroniques :

 

7 novembre 2011

Aujourd’hui pour la défense des produits beurk je suis Jacques Langue et je bois des Clous 34 ICI 

 

Livre-Beurk.jpg

 

15 octobre 2012

Pour voyager moins cher avec le Taulier pendant la semaine du goût devenez comme lui addict de la Beurk attitude : vive le vin de souris ICI

 

Le «Disgusting Food Museum» de Malmö s’invite en France dans le cadre des Tables de Nantes, cinq jours d’animations pour penser les assiettes d’aujourd’hui et demain. ICI 

 

« Requin vieilli (le hákarl islandais), fromage infesté de mouches (le casu marzu sarde), cochon d’Inde rôti (le cuy péruvien), fruit qui pue (le durian thaïlandais)... voici quelques exemples des «pièces» exposées sur des assiettes par le «Disgusting Food Museum» de Malmö.

 

Son objectif ?

 

Présenter 80 des aliments les plus dégoûtants du monde, pour questionner la dimension culturelle de l’alimentation et le rapport du visiteur à ce qui mangeable ou non. Ce qui est dégoûtant pour les uns est un mets prisé pour les autres...

 

« Dégoûts et des couleurs » pourrait être le titre de cette expo qui va certainement retourner plus d'un estomac.

 

L'idée est de démontrer que le goût (et le dégoût) sont subjectifs.

 

Selon l'endroit de la planète où l'on se trouve certains aliments sont considérés comme succulents... ou répugnants.

 

Les « œuvres » sont présentées sur des assiettes accompagnées d'un court texte qui indique la provenance et la composition du plat.

 

Parmi les classiques le Haggis écossais (panse de mouton farcie) ou encore les sauterelles frites d'Ouganda.

ICI

 

« Une des choses vraiment fascinantes concernant la notion de dégoût, c’est qu’elle est vraiment déterminée par notre culture », décrit Samuel West (à gauche), psychologue et commissaire de l’exposition « Disgusting Food Museum ». L'installation veut amener « les gens à réaliser que nous devons nous orienter vers de nouvelles sources de protéines meilleures pour l’environnement, comme les insectes ou la viande cultivée en laboratoire », poursuit son directeur Andreas Ahrens (à droite).

 

"Une des choses vraiment fascinantes concernant la notion de dégoût, c’est qu’elle est vraiment déterminée par notre culture", décrit Samuel West (à gauche), psychologue et commissaire de l’exposition "Disgusting Food Museum". L'installation veut amener "les gens à réaliser que nous devons nous orienter vers de nouvelles sources de protéines meilleures pour l’environnement, comme les insectes ou la viande cultivée en laboratoire", poursuit son directeur Andreas Ahrens (à droite).

 

« C'est de l'époisses, du fromage bourguignon. Mais je n'ai pas vraiment goûté car ce n'est pas possible aujourd'hui. Ce que je trouve intéressant en revanche c'est le texte qui accompagne. Il évoque souvent quelque chose de dégoûtant. Mais quand on nous présente un plat si on nous dit pas ce qu'il y a dedans probablement qu'on est plus ouvert à essayer de le manger »

Lucette Vigneron de Rezé fait partie des privilégiés qui ont pu visiter l'expo en avant-première.

 

En plus de la visite gratuite de l’exposition, présentée à Nantes du 25 septembre au 3 novembre, avant de partir pour Las Vegas, il est possible de goûter pour 3 euros de la chair de requin fermentée ou de la liqueur de glande anale de castor.

 

Le billet d’entrée n’est autre qu’un sac à vomi, afin de parer à toute éventualité en cas de haut-le coeur du visiteur lors de ce parcours culinaire décapant, qui prend entre une demi-heure et deux heures – selon les goûts. « Je crois que c’est de loin l’un des musées les plus intéressants que j’ai visités», se réjouit Charlie Lam, une étudiante hongkongaise de 23 ans.

Les bonbons de gélatine ont toute leur place dans l'exposition. La gastronomie française est aussi bien représentée avec le steak tartare, les escargots, le roquefort, l’époisses ou encore le foie gras, jugé moralement dégoûtant
Tarentule frite, pénis de taureau et vin de souris...
Les aliments les plus dégoûtants s’exposent à
Nantes

 

UN diaporama de 11 photos de l'horreur

 

ICI 

 

L’image contient peut-être : 2 personnes, personnes souriantes

L’Abelia & les tables de Nantes  Le 27 septembre à partir de 19:00, nous participons à l’événement les tables de Nantes. Faire découvrir la cuisine de produits frais et locaux sous forme de petits contenants à 5€ pour permettre d’aller goûter chez tous ceux qui se joignent à cette magnifique soirée 😋Nous serons accompagnés du domaine Landron-Chartier qui viendra partager sa passion. Venez déguster le rouget Barbet et sa poêlée automnale avec l’un de ses excellents vins (avec modération bien sûr) 😇

domaine landon chartier

Le chef est un certain Vincent Berthomeau et en salle Pascale Berthomeau

 

L'Abélia

125 bd. des Poilus 44300 Nantes, 44300 Nantes

   
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commentaires

A
Merci pour ce billet. En cette époque de vertitude, ils auraient pu donner à manger des pommes cussonnées. je pouvais en fournir gratos. Sans traitement. Le nuage de Rouen n'a pas atteint Nantes.<br /> <br /> Ça commence mal !<br /> <br /> Nantes. Les Tables de Nantes : le chef étoilé de l’Atlantide blessé ce soir en allumant une lampe. Que va-t-il se passer après une lampée ?<br /> <br /> A côté on inaugure une cascade urbaine dans la carrière où se trouvait la brasserie La Meuse. Chirac a dit qu'il aimait toutes les blondes.<br /> <br /> L'Abélia, c'est extra. On peut y aller à pied de la maison. Et donc, on peut goûter les vins. Ma fille en profite pour nous donner son fils à garder.<br /> =================<br /> À l’ouverture de la soirée des Tables de Nantes, une « version culinaire du Voyage à Nantes », une lampe s’est embrasée. Le célèbre chef Jean-Yves Guého a été blessé.<br /> <br /> Il s’apprêtait à allumer une lampe, "dans une sorte de vase", selon sa fille, Noémie, qui a assisté à l’intégralité de la scène.<br /> <br /> Ce vendredi 27 septembre, peu avant 19 heures, il incombait à Jean-Yves Guého (57 ans), le célèbre chef du restaurant L’Atlantide, étoilé au Guide Michelin, de déclarer ouverte la soirée des Tables de Nantes, une version culinaire du Voyage à Nantes, au pied de son établissement, situé rue de l’Hermitage. "Seulement, l’une des lampes a pris feu", raconte Noémie, la fille du chef. "Cela s’est embrasé et mon père a pris feu".<br /> Blessé au bras et à la main<br /> <br /> Par chance, parmi les quelque 200 convives attendus sous le barnum monté devant le restaurant, se trouvaient déjà un médecin et une infirmière. Ils ont aussitôt prodigué au blessé, qui portait sa tenue professionnelle, les premiers soins sur place. "Il était brûlé au bras et à la main. Peut-être au ventre aussi…", indique sa fille. À 19 h 30, ce vendredi, une équipe médicalisée du Samu prenait en charge le blessé.<br /> Toutes les lampes ont depuis été éteintes<br /> <br /> Le VAN a depuis pris la décision d’éteindre toutes les lampes qui devaient éclairer les emplacements des soixante restaurateurs participants. Noémie se disait "émue et en colère", ce vendredi soir. "Et dire qu’on avait tout fait pour que la soirée soit belle", soupirait-elle à 20 h.
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P
Plutôt dégoûts et des couleuvres si déjà il faut avaler.
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