Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
21 juillet 2019 7 21 /07 /juillet /2019 06:00
Brèves de lavoir (9) Mauriac sent la résine et le péché mortel

Mauriac (j’entends dans ses romans) sent la résine et le péché mortel. La digitaline, le poison. L’Officine de Circé, la chambre de malade.

 

La forêt de pins. La vieille salle à manger. Les vieux papiers de notaire. La table de nuit mal aérée.

 

Puis, de temps en temps, il ouvre la fenêtre et on voit le ciel.

Alexandre Vialatte La Montagne 8 mars 1970

Un adolescent d’autrefois par François Mauriac

 

22 novembre 2010

 

François, Claude, Jean Mauriac, les vignes de Malagar, les fils des grandes maisons de négoce et la bicyclette bleue de Régine Deforges... ICI

 

Dans l’un de ses derniers blocs-notes du Figaro Littéraire, le 28 mai 1970, juste avant sa mort, Mauriac ironisait méchamment « Il suffit que Sartre assume la direction d’un journal qui veut tout mettre à feu et à sang pour que ce journal devienne anodin… Sartre est incurablement inoffensif »

Partager cet article
Repost0

commentaires

P
Les brèves de lavoir ou l’art de couper la chique à la mouche du coche.<br /> Comme le coucou de l’horloge suisse, l’oisillon, à peine sorti pousse ses « coucou » pour aussitôt disparaître. Clac fait le portillon. Il n’y a plus rien à voir ni a dire. Et l’on reste interdit, estomaqué, en se jurant mais un peu tard que la prochaine fois on ne s’y ferait pas prendre. (C’est pas le coucou ça, Pax, c’est le corbeau. T’es à ce point sonné ?)
Répondre

  • : Le blog de JACQUES BERTHOMEAU
  • : Espace d'échanges sur le monde de la vigne et du vin
  • Contact

www.berthomeau.com

 

Vin & Co ...  en bonne compagnie et en toute Liberté pour l'extension du domaine du vin ... 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

Articles Récents