Mauriac (j’entends dans ses romans) sent la résine et le péché mortel. La digitaline, le poison. L’Officine de Circé, la chambre de malade.
La forêt de pins. La vieille salle à manger. Les vieux papiers de notaire. La table de nuit mal aérée.
Puis, de temps en temps, il ouvre la fenêtre et on voit le ciel.
Alexandre Vialatte La Montagne 8 mars 1970
Un adolescent d’autrefois par François Mauriac
22 novembre 2010
François, Claude, Jean Mauriac, les vignes de Malagar, les fils des grandes maisons de négoce et la bicyclette bleue de Régine Deforges... ICI
Dans l’un de ses derniers blocs-notes du Figaro Littéraire, le 28 mai 1970, juste avant sa mort, Mauriac ironisait méchamment « Il suffit que Sartre assume la direction d’un journal qui veut tout mettre à feu et à sang pour que ce journal devienne anodin… Sartre est incurablement inoffensif »