« À leurs débuts au Demoiselle*, elles ouvraient à six heures, à cause de l’usine toute proche. Les ouvriers attaquaient au café belge, y compris les femmes. À onze heures, c’était apéro, pâté, rillettes, saucisson et vin blanc. Les employés des bureaux prenaient le temps d’une pause comptoir ou d’un déjeuner à table. Désormais, ils ne quittaient leur entreprise que pour faire la queue à la boulangerie et s’acheter un sandwich ou une salade. Le métier était devenu difficile. La bouteille de calva fait l’année, regrettait Granita. »
* rue Danton à Levallois-Perret près de l'usine Citroën
Affaire à suivre…