S’appuyant sur une étude portant sur 195 pays vient mettre à bas le mythe d’une consommation responsable d’alcool qui serait sans danger pour la santé. Les méfaits l’emportent dès le premier verre, pour s’accentuer ensuite, toute la presse : le Figaro-vins en tête – je plaisante à peine, en poussant le raisonnement une action contre ce canard pour incitation à la mise en danger d’autrui serait à envisager – entonne la même ritournelle : Non, boire un verre de vin par jour n’est pas bon pour la santé par Damien Mascret le 25/08/2018
C’est une vieille rengaine, s’appuyant sur la Science disent-ils, le 23 février 2009 je commettais une chronique très fouillée : Quand on veut tuer son chien on dit qu’il a la rage : premier verre et cancer
Nos grands experts de Santé Publique, à défaut d’être efficaces, sont de grands communicants. Emmenés par l’inénarrable Didier Houssin directeur d’une DGS, qui s’est illustrée lors de la canicule par son sens de l’anticipation et de l’humanité, suivi de Dominique Maraninchini de l’INCA dont j’espère qu’il tirera moins sur les notes de frais que son prédécesseur David Khayat débarqué en 2006, et d’une soi-disant directrice de recherche de l’INRA Paule Martel, ces maîtres de notre santé nous ont joué leur partition habituelle. « Pas de dose protectrice» pour le premier. « Les petites doses, avec leurs effets invisibles, sont les plus nocives » pour le second. « Toute consommation quotidienne de vin est déconseillée » surenchérit la dame de l’agronomie qui doit sans doute encore porter des pantys.
Profitant de la sortie de la brochure : Préventions Nutrition& Préventions des cancers : des connaissances scientifiques aux recommandations destinée aux professionnels de Santé qui remplace une première édition parue en 2003 intitulée « Alimentation, nutrition et cancer : vérités, hypothèses et idées fausses ». Ils nous ont refait le coup du premier verre. Le n’y touchez jamais. Bref, sur un sujet aussi sensible dans la population qu’est le cancer ils étaient sûrs de leur effet.
Pour ceux qui en auront le courage je vous propose l’extrait concernant l’alcool. Rien de nouveau sous le soleil. Extrapolations, amalgames, le convaincant et le probable de leurs statistiques amalgamées et invérifiables sont érigés en oukases. Ces messieurs, veulent terroriser le bon peuple. Ils ont tort. La communauté scientifique médicale, que je respecte, ne peut s’ériger ainsi en pouvoir dictant les règles de conduite de la vie des hommes en Société. C’est un abus de pouvoir car il n’y a pas de contre-pouvoir. Les détenteurs de la « Science » se contrôlent entre eux et dans le domaine de certaines études le doute est plus que permis sur leur méthodologie. De grâce revenons à la raison nous sommes déjà dans une société hautement anxiolytique alors n’en rajoutons pas messieurs une couche supplémentaire.
Ils « s’appuient » sur le rapport du WCRF/AICR « Food, Nutrition, Physical Activity, and the Prevention of Cancer : a Global Perspective »3 qui a été publié en novembre 2007, à l’issue d’une expertise collective internationale de grande envergure, et qui était l’actualisation complète du premier rapport publié en 1997, il fait le point des connaissances dans le domaine des relations entre nutrition et cancers. Ce rapport a été analysé par moi-même aussitôt. Je vous redonne ci-dessous ma chronique de l’époque. Sans vouloir ramener ma fraise je suis en droit de m’interroger sur l’utilité de certains payés pour ça et qui ne sont même pas capable de faire ce travail c'est vrai que c'est plus rigolo de se payer des 4X3 dans le métro...
Lisez la suite ICI c'est très documenté, rien à voir avec les braiements de Denis Saverot...
Les vendanges démarrent, c’est leur cauchemar. Les docteurs Knock de #ANPAA attaquent encore le vin et Le Figaro recopie sans contre-enquête (pages santé). Dénonçons ce lobby hygiéniste gavé d’argent public et de titres ronflants qui veut remplacer le #vin par des médicaments !
Jacques Dupont
@Dupont_LePoint
Extrait du journal de l’asso des cardiologues
«L’absence de consommation journalière de fruits et légumes, la sédentarité, et l'absence de consommation régulière et modérée d'alcool sont, respectivement responsables de 14 %, 12% et 7% de l'ensemble des infarctus du myocarde. »
bernard farges
@FargesB
Donc 914 buveurs sur 100000 développent des pathologies et 918 non buveurs sur 100000 développent aussi des pathologies.
Coluche ou Desproges se seraient régalés.