Le 30 mai mon hébergeur m’informait :
Bonjour JACQUES BERTHOMEAU,
Votre blog fête ses 12 ans aujourd’hui !
Toute l'équipe d'Overblog est heureuse de souhaiter un joyeux anniversaire à votre blog Le blog de JACQUES BERTHOMEAU.
12 an(s) ça se fête !
Dites-le à tout le monde
Donc je vous le dis mais ma production des débuts hébergée par une autre plate-forme a disparue dans les tréfonds de la Toile. En effet, le 30 mai je transférais mes premiers pas sur la plate-forme overblog en mettant un lien (c’est lui qui a fondu)
AVIS AUX LECTEURS :
Le 25 mai : les désastronautes
Le 26 mai : il vaut mieux aller au ciné
Le 27 mai : Gallo
Le 30 mai : Une bonne et une mauvaise nouvelle
Pas grave, mes tout petit posts n’étaient pas des œuvres impérissables.
En juillet 2005 je ne publiais qu’une seule chronique.
En août 2005 : 2.
Décavaillonneuse
Décavaillonner : labourer entre les ceps...
Avec mon grand-père Louis aux manchons et moi tenant les rênes de Nénette la vieille jument alezane nous passions la décavaillonneuse dans les vignes... A la réflexion nous pratiquions la culture biologique sans le savoir avant même les premiers croisés de la méthode Lemaire-Boucher... J'espère que ça va faire remonter ma cote du côté de la Confédération Paysanne...
A l'heure des universités d'été, souvenir de cette journée passée à Monbazillac à me faire tailler en pièces par les tenants de l'agriculture paysanne. Le vin n'est pas une marchandise... J'avoue mon allergie pour cette vision passéiste d'un monde que j'ai vu disparaître sous mes yeux de jeune homme dans ma Vendée postféodale; pas beaucoup d'attrait pour la « Terre qui meurt » de René Bazin, les bocains et les dagnions, monde clos, étriqué, étouffant...
L'exploitation familiale à 2 UTH chère à la loi d'orientation agricole de 1960 d’Edgard Pisani mère du productivisme de l'Ouest profond. Demandez donc l'avis de mon frère Alain, paysan lui, avait-il d'autre choix sur ses 17 malheureux hectares de bocage ?
Si l'on veut rendre l'agriculture plus durable, plus respectueuse de son environnement encore faut-il élaborer une alternative qui permette au plus grand nombre de trouver leur place dans une société de consommateurs qui ne sont pas avares de contradictions
En septembre 2007 : 7
Montaigne
« Le parler que j'ayme, disait l'auteur des Essais, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche ; un parler succulent et nerveux, non tant délicat et peigné comme véhément et brusque. »
Essais, Livre I, chapitre XXVI
En octobre 2007 : 18 c’était parti !
17 octobre 2005
Le Canard
Rassurez-vous je ne tombe pas dans la psychose grippe aviaire, c'est du "Canard Enchaîné" dont je vais vous causer. Au temps lointain où j'étais directeur de cabinet, le Canard arrivait sur mon bureau la veille de sa parution, élégante attention au cas où votre cher Ministre se ferait épingler. Au Canard on est vache mais dans la convivialité, une ou deux fois par an mon référent, Hervé Liffran m'invitait à déjeuner, mets roboratifs et bonne boutanche aux frais du journal. Les amis fidèles du vin faut les bichonner...
Alors je vous propose d'acheter le dernier dossier du Canard " Comment les hypers gagnent " Enquête non autorisée dans les arrière-boutiques de Carrefour, Intermarché, Auchan, Leclerc et autres grosses têtes de gondoles; pages 39 et 40 vous pourrez lire : « Foires aux vins Le jackpot de vin : mélangeant entourloupes et plus ou moins bonnes aubaines pour le client, les foires aux vins sont une super-bonne affaire pour les hypers ». Rien de très bouleversant mais mon petit doigt me dit que certains d'entre vous auront envie de faire des commentaires, des rectifications ou des révélations...
Bonne lecture...