Mon ego en fut flatté puisque la citation fausse, signée MOI : «Je me méfie des vins que l’on garde pour les grandes occasions. Quand on est mort, ce sont les autres qui les boivent.» publiée le 19 décembre 2016 sur mon mur Face de Bouc avait recueilli 110 preuves d’amour.
Lorsque le 18 janvier je lançais mon Grand concours du taulier : quelle est la meilleure des 110 citations fausses ? 2 Magnums en jeu ! Je ne me faisais guère d’illusions sur l’écho qu’allait rencontrer :
« Un gagnant donc sur Face de Bouc et un sur mon blog.
Que gagneront-ils ?
Un beau flacon.
Bien évidemment tout ça est conditionné par un vote massif et significatif de votre part.
Je ne prends donc pas beaucoup de risques puisqu’en général mes appels au peuple sont des bides !
Qui vivra verra ! »
Tel fut le cas, ce fut comme à la Primaire de la sinistra : un flop de participation !
Mais je dois souligner qu’à nouveau ce fut la n°47 qui tira modestement son épingle du jeu :
«Je me méfie des vins que l’on garde pour les grandes occasions. Quand on est mort, ce sont les autres qui les boivent.»
- Sur Face de Bouc François Desperriers tira le premier, à 08h 13 pour la plébisciter.
- Sur mon blog c’est Plumette qui vota pour 18/01/2017 10:34
Je vote pour la citation 47. Elle est excellente.
Que faire pour les récompenser ?
François Desperriers je sais où il niche mais Plumette je ne sais plus trop ?
Alors, j’ai décidé dans ma sagesse légendaire de les inviter à déjeuner, ensemble bien sûr, si Plumette (que je connais mais dont je ne révélerai pas le nom) le veux bien, au restaurant Les Climats.
Comme ils sont tous deux provinciaux, preuve que je ne chronique pas que pour les bobos parisiens, ça ne sera pas forcément simple mais je suis sûr que nous trouverons l’occasion de boire des vins de garde, bourguignons puisque Les Climats ne servent que des nectars de cette région chère au cœur de François.
À bientôt j’espère et merci de votre fidélité…