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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 08:00
CHAP.17 extrait sec, pour Bayrou Sarkozy est « abusé par sa propre angoisse et sa propre fuite en avant » et Dati traite Hortefeux de facho !

L’hiver se pointe en cette fin de semaine mais c’est toujours chaud à droite, la NKM a balancé au Nico lors du débat « Je t'ai vu de près, et justement maintenant, je suis candidate contre toi. »

 

Réponse de talonnettes : « Si j'avais été réélu en 2012, je pense que Nathalie se serait fait violence pour m'accompagner encore. (...) Je ne regrette pas ta nomination, Nathalie. Je ne suis pas sûr de le refaire, mais je ne regrette pas ta nomination. »

 

Retour gagnant :

 

« Quand on veut être exemplaire, il faut l'être complètement. (...) Tu sais, parfois, c'est pas mal d'écouter ce que disent les autres. »

 

Ils s’aiment.

 

Le jour de la  Toussaint il faisait beau, Paris sentait presque le sable chaud, nous étions assis en terrasse sirotant des Irish Coffee bien tassés, les fumeurs tiraient sur de longs Puros. Les trottoirs étaient encombrés de chrysanthèmes. Le Community Manager de Nicolas Sarkozy en profitait pour tweeter le faire-part de décès d'Alain Juppé pour ce jour de tous les Saints. Mais jusqu’où iront-ils ?

 

.@alainjuppe vous souhaite une belle #Toussaint à tous ! #fairepartdedécès

— Sacha Straub-Kahn (@StraubKahnSacha) 1 novembre 2016

 

Les roquets aboient mais la caravane passe. Nous jouissons du moment. Même s’il ne faut jamais crier victoire avant le jour J, l’état d’angoisse des portes-flingues, des demi-soldes du Nicolas est déjà une victoire. Ce sera, le jour dit, du moins nous l’espérons, et nous y travaillons, le plus grand motif de satisfaction de notre opération Chartrons.

 

Le bonze du Béarn qui n’est jamais aussi bon qu’avec  sa plume l’avait déjà mouché. Le déplumé de Chamalières affirmait à juste raison qu’une élection présidentielles, au deuxième tour, gagne au Centre. Ça reste toujours vrai, et d’autant plus vrai que l’extrême-droite est quasiment assuré d’y être. Le choix entre deux extrémistes n’a rien de rassurant. Alors va pour le rassemblement avec le vieux Juppé. Le moindre mal.

 

Donc, un de chute, reste l’autre protagoniste du remake annoncé. Et c’est là que le Mélanchon pointe le bout de son nez en exposant ce jour au Figaro l’analyse que j’avais développé devant mes troupiers lors du mémorable dîner des Climats.

 

Que dit-il ?

 

Hollande sera candidat en 2017 avec une logique "lui ou le chaos"

 

« Je suis un opposant de la première heure et donc peu surpris par la façon dont ce quinquennat se termine avant la date. On m'a beaucoup reproché au début de dire crûment les choses mais on s'aperçoit à la fin du quinquennat que c'est encore pire que ce que j'annonçais »

 

« Pour autant François Hollande n'a rien perdu de sa centralité, il ne faudrait pas s'y tromper. Il reste le personnage clef du PS, sa clef de voûte et son point de rencontre le plus évident. Sa logique est assez simple: au PS, c'est lui ou le chaos! »

 

« Ou il se présente et il n'y aura qu'un seul candidat socialiste, ou il ne se présente pas et il y en aura plusieurs. Dans tous les cas, je me sentirai conforté dans le choix que j'ai fait de partir tôt et de construire une opinion informée et éduquée autour de ma candidature »

 

Mais là où il se fait des illusions le Mélanchon c’est que sa stratégie le placera dans la pire des positions : celle d’un bon troisième. C’est bon pour l’ego mais on reste sur le carreau. Le Jean-Luc, qui connaît bien la boutique de la rue de Solférino, se place pour récupérer les morceaux du PS. Stratégie à la Mitterrand après la déroute de Gaston Deferre à la Présidentielle de 1969 où Pompidou triompha de ce pauvre Poher.

 

La méthode Coué plait aux militants  Mélenchon souligne « tout le chemin qu'il reste à faire » mais dans l’emballage final le handicap se révèlera insurmontable quoiqu’il en dise « Mais il est vrai qu'à partir du moment où je suis troisième dans le tableau, mon rôle change (...) Tout est mis en doute. Il y a un lien entre la perte d'autorité de l'État, les manifestations de nuit des policiers et la décrédibilisation totale du président de la République. Alors, je rassure »

 

Laissons se faire la décantation et revenons au maire de Pau :

 

Après les attaques et les insultes, ma réponse à Nicolas Sarkozy

 

UN AFFRONTEMENT FONDATEUR

 

On ne peut qu’être frappé par l’obsession Bayrou qui chez Nicolas Sarkozy, alors qu’il est en perdition devant Alain Juppé dans les sondages, a envahi tous les discours et toutes les émissions, et les tribunes signées de ses séides rameutés.

 

Des heures de diatribes, culminant à Marseille en ce cri enfin arraché à la foule et rapporté par une journaliste présente : « Bayrou saloperie ! ».

 

À cette obsession, d’abord, on a peine à croire, on s’interroge sur la stratégie : comment une force qui se croit si considérable se sent-elle menacée à ce point par ce qu’elle prétend mépriser ? N’y aurait-il pas là en réalité un dangereux et révélateur aveu de faiblesse ? Et puis l’on réfléchit, et l’on se dit que si la question a pris une telle importance, c’est qu’elle doit couvrir un affrontement fondateur, une confrontation essentielle qui appelle à trancher d’une ligne politique et de l’avenir d’un pays.

 

On doit donc entrer dans le fond de cet affrontement, car il est porteur de sens. On doit le faire sérieusement car c’est un affrontement sérieux, et sans ire superflue : en démocratie, il n’est pas besoin de se haïr pour se combattre.

 

J’appartiens aux trois millions de Français qui n’étaient pas de gauche et qui ont voté contre le renouvellement du mandat de Nicolas Sarkozy. Mon vote a eu un écho, un retentissement que j’assume. En 2007, j’avais voté blanc. Mais l’exercice des cinq années de mandat et la conduite de la campagne de 2012 m’ont convaincu, comme ces millions de compatriotes, qu’une réélection du président sortant ouvrirait la porte à des dérives encore accentuées et que nous ne voulions pas voir.

 

Et ce n’est pas parce que le quinquennat suivant a été porteur de tant de faiblesse et de tant d’errances que cela efface les raisons de notre choix.

 

Nous n’avons rien oublié de la gravité des raisons qui nous ont convaincus à l’époque : les atteintes graves et répétées aux principes de notre vie en commun, les abus de pouvoir et l’orientation de la campagne entièrement conduite pour opposer les Français entre eux. Ces raisons étaient impérieuses. Elles reposaient toutes non pas sur des a priori, mais sur des faits indiscutables et désormais prouvés. Elles faisaient craindre pour l’intégrité de notre pays, pour l’image de nos institutions, pour notre démocratie. Elles étaient fondées : qui sait où nous en serions arrivés si une réélection-surprise avait livré le pays à l’ivresse d’un succès construit sur tant de dérives ?

 

Ce qu’il y a de fascinant aujourd’hui, c’est que ces traits de caractère, ces pratiques, tous les concurrents de la primaire les dénoncent aujourd’hui, peu ou prou, chacun à leur manière, mais à l’unisson, eux qui ont vu de près l’ambiance et la manière de ces cinq années de pouvoir. Ce qui devrait faire réfléchir y compris les esprits partisans.

 

Mais l’affrontement ne porte pas sur le passé seulement, ce serait trop simple. En ce qu’il porte sur l’avenir, il est encore plus grave et plus profond. Comment quelqu’un qui a été président de la République et qui aspire à le redevenir peut-il se comporter de la sorte ? Comment peut-il en arriver à cette violence de chaque minute, lâchant des insultes avec un mépris affiché, crachant sur ceux qui ne votent pas pour lui, n’hésitant pas à leur enjoindre sans crainte du ridicule de « se taire », n’hésitant pas en un moment où la sécurité est menacée et la police déstabilisée à qualifier Bernard Cazeneuve de « ce qui nous sert de ministre de l’intérieur » ?

 

J’essaie de comprendre ce qui sous-tend ce mépris, cette violence, cette perpétuelle exagération de caricature et j’y découvre des différences de conception qu’il convient d’assumer.

 

C’est de la démocratie d’abord qu’il est question dans cet affrontement. Pour Nicolas Sarkozy, visiblement, la fin justifie toujours les moyens. Pour moi, je crois que les moyens utilisés, quand ils sont bas, contaminent le but qu’on prétend atteindre. Pour lui, le pouvoir est une domination, et la conquête des électeurs se paie par l’hystérie… C’est exactement le contraire de ce que je pense et d’ailleurs aussi le contraire de la ligne qu’il affichait dans les discours qu’on lui faisait lire en 2007 : « je demande à mes amis de me laisser libre, libre d’aller vers les autres, vers celui qui n’a jamais été mon ami, qui n’a jamais appartenu à notre camp, à notre famille politique et qui parfois nous a combattus. Parce que lorsqu’il s’agit de la France, il n’y a plus de camp ! » Voilà ce qu’il piétine !

 

L’excitation du sectarisme et de l’intolérance, c’est aussi un affrontement sur la conception même du pouvoir présidentiel. Pour moi, un chef d’État est un chef de famille. Les chefs de famille, au masculin comme au féminin, ont souvent à prendre des décisions rudes, sans se laisser détourner de leur devoir, des décisions franches, sans se laisser impressionner par des résistances infondées.

 

Mais il est une chose que chef de famille on n’a pas le droit de faire, c’est d’asseoir son pouvoir sur la division de la famille, de la susciter et de l’entretenir, de monter le frère contre le frère, les proches les uns contre les autres.

 

La ligne stratégique de Nicolas Sarkozy a constamment été, pour gagner des voix, pour mobiliser des foules d’électeurs autour de lui, de faire flamber la division dans son pays. Au service de ce choix, il a fait feu de tout bois : les partis, la gauche, la droite, la nationalité, l’origine, la religion, le vêtement, la nourriture, l’Islam toujours.

 

Faire de la division du pays le principe de l’action présidentielle, c’est manquer à la mission première qui est d’assurer la concorde civile, de rassembler les forces et de les ordonner pour faire face aux tempêtes. L’écriture le dit depuis la nuit des temps : « toute demeure divisée contre elle-même périra ».

 

C’est pourquoi, pour moi, un président qui n’est pas un rassembleur n’est pas un président.

 

Et cela a une traduction simplement politique. Ce qu’affirme Nicolas Sarkozy à longueur de meetings, c’est que le pouvoir qu’il ambitionne, il veut le construire contre, contre le centre indépendant, contre la gauche quelle qu’elle soit, contre ceux qui n’auraient pas voté pour lui à telle ou telle échéance, et que ce pouvoir doit s’exercer, tout le temps qu’il durera, contre ceux qu’il doit réduire et en fait soumettre.

 

C’est le contraire de ce que je pense. Encore davantage dans les temps que nous vivons. J’affirme qu’une telle conception du pouvoir serait demain vouée à l’échec. Nous vivons une des crises les plus graves et les plus décourageantes que notre pays ait connues depuis longtemps. Six millions de Français l’éprouvent dans le chômage, tout le monde s’interroge sur les régimes sociaux, la menace terroriste est partout présente, l’éducation nationale est déstabilisée. Qui peut prétendre que ce soit par le sectarisme, appuyé sur un parti politique agressif à l’égard de tout ce qui n’est pas strictement aligné sur ses ukases, donc par définition minoritaire, qu’un exécutif, quel qu’il soit, redressera le pays ?

 

Face à Nicolas Sarkozy j’affirme que cette ligne politique est nuisible à la France, et qu’il convient de choisir la ligne exactement inverse : trancher, oui, avancer, oui, décider oui. Mais prendre au sérieux et respecter même les autres, les grands courants du pays, même ceux avec qui on est en désaccord, même ceux que l’on a combattus ou qu’on combat, rassembler tous ceux qui acceptent de participer à la reconstruction, affirmer leur légitimité, convaincre chaque fois que nécessaire, plutôt que contraindre.

 

J’affirme même, à l’encontre de Nicolas Sarkozy, et je défendrai cette ligne, que tous ces grands courants du pluralisme français, très à droite, très à gauche ou très au centre, doivent être représentés dans nos institutions, même ceux avec lesquels je suis le plus en désaccord et en affrontement. D’abord parce qu’ils représentent bien plus de citoyens que ceux qui nous gouvernent depuis des décennies, mais surtout parce que c’est leur droit imprescriptible de citoyens de défendre des idées différentes. C’est leur droit de citoyens d’avoir leur mot à dire lorsque les décisions se prennent, même s’ils ont des nuances, ou des divergences. Rien ne justifie que la règle majoritaire empêche la représentation des minorités. La démocratie aide souvent à prendre de meilleures décisions que le pouvoir dérisoirement autoritaire.

 

Enfin il y a, si possible, encore plus grave à mes yeux : il y a un contresens sur l’idée même de peuple. Nicolas Sarkozy évoque dans cette campagne, jour après jour, un peuple frustré, dont il prétend s’appuyer pour justifier sa violence sur la prétendue réalité de la vie et dont il exprimerait tout haut ce que ce peuple penserait tout bas ; en réalité, il y a dans cette vision un profond mépris du peuple. Il y a une idée péjorative, une condescendance, une mésestime consciente ou inconsciente, pour le peuple considéré comme une troupe qu’il convient de mener par les plus bas des sentiments, ceux du rejet et de l’insulte, du fanatisme et de l’aboiement contre les boucs émissaires.

 

J’affirme au contraire que ce peuple que Sarkozy n’a jamais approché, au milieu duquel il n’a jamais vécu, avec lequel il n’a jamais passé ni une semaine, ni un jour sans caméras, ni en une ferme, ni en un quartier ouvrier, ni en une famille d’enseignants, ni chez des artisans, le peuple chez nous, qui y sommes nés, qui y avons grandi et travaillé, le peuple n’est pas ce qu’il veut en faire. Le peuple, contrairement à ce qu’il croit, n’est pas une masse qu’il convient de fouetter de passions et de prendre par le bas, par les instincts, par les mots qu’on jette avec un rictus, par l’excitation contre les boucs émissaires que l’on livre l’un après l’autre en pâture. C’est le contraire.

 

En face de lui, j’affirme ceci qui est l’essentiel, pour un président de la République comme pour un citoyen : le peuple a besoin d’être estimé et d’estimer, le peuple, le vrai et le seul, mérite qu’on lui parle à la hauteur de son histoire et de la dignité de ses enfants.

 

Et contrairement à ce que croit Nicolas Sarkozy, tout cela est parfaitement compris, parfaitement ressenti. Et je crois qu’il se trompe sur le fond. Je crois que Nicolas Sarkozy, abusé par sa propre angoisse et sa propre fuite en avant, passe à côté de l’essentiel. Je crois que ce qu’il agresse et qu’il stigmatise dans le soutien que j’ai décidé d’apporter à Alain Juppé, c’est précisément ce qu’un grand nombre de Français cherche et attend : des politiques qui soient animés d’esprit civique, qui soient capables de s’unir et de se rassembler quand l’essentiel est en jeu. Et par là-même, ces millions de Français comprennent que cette entente est une promesse : une fois l’élection acquise, ils auront une garantie, le nouveau Président de la République les entendra et on les respectera. Ce n’est pas la brutalité qu’ils veulent, ce n’est pas la violence, c’est la volonté et la compréhension des difficultés et des attentes de chacun.

 

Les Français ont tout saisi sans avoir besoin d’explications complémentaires. Ce n’est pas parce qu’il n’est pas assez violent, assez clivant, assez injurieux que Sarkozy décroche, c’est précisément parce que tout le monde voit toute la faiblesse que révèle un tel comportement. Et c’est pour cette raison que les Français, de droite, du centre et d’ailleurs, malgré la logique partisane de la primaire, s’apprêtent à lui dire non. Une deuxième fois. »

 

Alain Rousset, président de la Nouvelle-Aquitaine

 

Ambiance samedi soir à Cenon à l'occasion des Universités de l'engagement du PS. À la tribune, le président de la région Nouvelle-Aquitaine Alain Rousset a prononcé un discours qui n'a sans doute pas laissé de marbre le premier secrétaire du Parti Socialiste Jean-Christophe Cambadélis, présent dans la salle.

 

Rien ne semble aujourd'hui apporter une réponse au sentiment de déclin qui est le sentiment général de la France. [...] Et pour ce qui nous concerne, à gauche, au PS et dans les formations politiques qui sont avec nous, ce sentiment d'incompréhension. Rien ne semble apporter une réponse, et surtout pas les incantations sur le chômage dont la courbe se retourne, ou sur la croissance qui revient. Celui notamment qui s'exprime là-dessus depuis cinq ans devrait la fermer. Il ne nous a pas aidés. Il a un boulot à faire, mais à un moment donné, les Français ressentent autre chose.

 

« Salut le facho! » L'incroyable texto de Rachida Dati à Brice Hortefeux

 

« Salut le facho, [...] Soit tu me lâches soit je vais déposer l’assignation qui date de deux ans dans laquelle tu figures avec d’autres pour atteinte à ma vie privée et écoutes illicites [...]

 

« De plus, je vais dénoncer l’argent liquide que tu as perçu pour organiser des rdv auprès de Sarko lorsqu’il était président, des relations tout aussi liquides que tu as eues avec Takieddine, l’emploi fictif de ton ex à la Caisse d’Epargne grâce à Gaubert (...), et je peux continuer avec les avantages que tu as eus et as encore à l’UMP à l’insu de ceux qui paient. »

 

Nicolas Sarkozy était en copie de ce texto. Son directeur de cabinet, Michel Gaudin, cherche alors à joindre Rachida Dati. Comme il était lui aussi sur écoutes, l'échange téléphonique se retrouve dans le dossier dévoilé par Mediapart.

 

« Il faut quand même que tu fasses gaffe quand même… Envoyer des messages pareils… », lance Michel Gaudin à la maire du 7e arrondissement de Paris. « Mais parce que c'est la vérité ! », réplique Rachida Dati, qui enchaine: « Ce que j'ai mis dans le texto, je l'ai fait, je l'ai fait à dessein parce que c'est vrai. (…) Il prenait des rendez-vous chez Sarko, et il faisait payer les gens. D'ailleurs, il m'a pas répondu parce qu'il sait que c'est vrai. Et sa bonne femme qui a été recrutée à la caisse d'épargne par Gaubert, c'est vrai aussi. »

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commentaires

P
Comme toujours le dimanche une riche chronique, pleine d'infos et de point de vue originaux qu'on aimerait voir aussi exprimés par ailleurs. Ces points de vue me rappel ceux que développait, avec intelligence, humour et détachement, Bernard FRANK dans ses billets du Monde, du Nouvel Obs etc, en période électorale. Riche chronique dont la lecture doit être reprise à tête reposée: après la sieste de cette après midi donc.<br /> Mais de commentaire point, Il y aurait trop à dire et actuellement trop à faire pour conjurer le sort en vue de voir sortir comme un mal propre, si,si,si, un malpropre cet individu qui s'incruste comme une Ixodes ricinus mâle au risque de communiquer à la France entière la maladie de Lyme. Trop à faire en effet, prières et cierges à Saint Jude, patron des causes perdues et Ste Rita, patronne des causes désespérées.On ne sait jamais , abondance de bien ne nuit pas, 2 précautions valent mieux qu'une et tant pis si on fonctionne comme les banquiers honnis adeptes du "ceintures et bretelles" Prières certes mais aussi, cours de vaudou accélérés, stage de manipulation des aiguilles et autres techniques d'envoûtement. Mais on sonne, je vous laisse c'est le coach en imprécations qui vient pour ma leçon. Vite un dernier mot, ( j'arrive coach, j'arrive !) si vous avez des idées efficaces je suis preneur ( j'arrive je vous dit !) Attention les messes noires sont inefficaces dans le cas d'individu dont l'âme est de la même couleur !<br /> Me voila coach, me voila...
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