Charles attend, non pas Godot, mais mes contributeurs extérieurs qui m’ont promis de me soulager de mon fardeau quotidien. Mais, comme sœur Anne je ne vois rien venir.
Il en est un qui, après de folles agapes parisiennes dans une cantine improbable, cultive la vieille devise du grand Jacques « les promesses n’engagent que ceux qui les entendent » Je dis ça, je dis rien, façon d’aligner des lignes pour titiller gentiment mon cher lecteur sis à Strasbourg.
Mais, l'envoi inopiné de cette chronique samedi après-midi par mon farceur d'hébergeur à sans doute accéléré l'accouchement de la chronique : elle m'est parvenue ce même samedi à 17 h 54 GMT. Il n'y a pas de fuseau horaire entre Strasbourg et Paris.
Vous la trouverez en ligne jeudi à l'heure du crémier.
Donc, en ce lundi post-primaire je me saisis de la question posée à Gilles de Revel, professeur d’œnologie à l'université de Bordeaux, qui analysera les ressorts du goût des vins, entre art et science dans le cadre des Vendanges du savoir à la Cité du Vin CITÉ de BORDEAUX 06 décembre 2016 de 18:00 - 20:30.
Celui-ci nous dit :
« Chacun est capable de devenir dégustateur de vin d’un jour ou dégustateur expert par un apprentissage prolongé... Et tous les goûts sont dans la nature ! La dégustation est à la fois un art et une science. Son paradoxe : tendre à être une méthode objective en employant des dégustateurs par définition subjectifs. Le dégustateur, juge et interprète à la fois, doit alors tenter l’impartialité, là où l'émotion et l'étonnement sont toujours présents pour garantir le plaisir de boire un vin. »
La suite ICI
N’ayant pas les moyens de déplacer mes augustes fesses jusqu’à la Cité d’Alain je demande à un homme de l’art et de goût François Des Ligneris de m’y représenter.
Gilles de Revel est Professeur à l'université de Bordeaux, Enseignant-chercheur à l’Institut des Sciences de la Vigne et du Vin (ISVV), dont il est actuellement directeur adjoint, en charge des formations.
Dès que je vois se pointer un œnologue, vous le savez, le doute m’assaille. Alors, avant même de recevoir les minutes de François je lance donc un appel à tous mes lecteurs pour qu’ils répondissent à cette savante question.
À vos plumiers !
Sortez porte-plume et encrier !
Planchez tout le temps que vous voulez !
Envoyez-moi le fruit de vos cogitations pour publication !
Merci, le service est compris…