Mareva est une amie, une véritable amie au sens de Montaigne et de la Boétie, « parce que c'était elle, parce que c'était moi »
Je l’ai rencontré à la Bellevilloise où certains bobos parisiens croient que « sous les pavés la vigne », elle était juchée sur des béquilles et projetait de faire des glaces à l’italienne pour les vendre dans un triporteur.
Mareva, entre autres, est une passionnée de vélo : pensez-donc, l’an dernier elle a « fait » un mois au Rwanda en solitaire sur son vélo !
Elle est éclectique Mareva, elle pige pour des revues, elle participe à l’aventure du Lapin Blanc, elle mais la main à la pâte pour recevoir excellement, se transforme en sommelière discrète et avertie à Amarante, son beau sourire toujours accrochée à ses lèvres, élégante et sincère.
Je sais que je vais me faire tirer les oreilles par elle car les brassées de fleurs ce n’est pas sa tasse de thé mais désolé Mareva il faut bien qu’un jour ce fut écrit.
Pourquoi aujourd’hui ?
Parce que Mareva part, cette fois-ci en duo, à la pure aventure.
Elle l’écrit sur l’espace qu’elle vient d’ouvrir sur la Toile, les réseaux sociaux comme on dit : Velicita un tour à vélo.
Elle nous dit :
« Oui ce monde est beau, partout, tout le temps. Il nous faut mettre la truffe au vent et lever les yeux pour en profiter et s’émerveiller »
Pas d'itinéraire, pas de durée, pas d'argent
La recherche d'une maîtrise de nos vies, et peut être d'un peu de sens.
- L’émancipation : sortir du cadre. Nous prenons pour un temps indéterminé le chemin d'une vie nomade. Tout à la fois un acte de rébellion et une façon de se prouver qu'une autre voie existe.
- Le besoin : l'argent change tout. Ne pas en avoir pourra peut-être nous permettre de renouer un contact plus direct et plus simple avec les gens et le monde qui nous entoure. Cela nous recentrera pour sûr sur nos besoins plutôt que sur nos envies.
- Le rapport au temps : ne pas avoir d'itinéraire ni de date de retour doit nous permettre de voyager à l'envie...ou de rester un temps au même endroit. Se retrouver devant deux belles routes opposées et se dire que oui, on va faire les deux.
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Oui Mareva je partage :
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Vous faites partie du voyage, forcément. Ces idéaux vous les incarnez. Alors on va essayer au maximum de maintenir le lien et l'échange. Nous aurons un téléphone et une SIM, ce blog pour raconter, Facebook pour partager et Instagram pour montrer.
Je ne sais si mes vieux os de cycliste urbain auront la force pour aller vous rejoindre mais sache que le cœur y est.
Bonne route à vous 2, je suivrai avec passion votre périple…
Baci !